
le manche sans la lame, encre sur papier, 98x94, kludzen 2005
J'écris en elle
Pourquoi ne cries-tu pas?
Ma main est ma seule voix
Je la sens
Elle vient et accède
Le bonheur de nos deux gouffres
Se retrouve
Enfin.
La ligne devient fantaisiste, la forme est instable et confuse, les volumes sont assemblés, mélangés et provoqués par l'éclat des yeux, la beauté lumineuse du corps et le rayonnement de l'être aimé.
Les couleurs vibrantes pour ses yeux sont sens, l'émotion imprègne l'ensemble : une cité idéale où les murs sont signes.
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